Considérant que Tu es Terre et
Ciel, dessinant Ton portrait sur la page de mon esprit,
et contemplant sans cesse cette image, je m'écrie :
"Ô mon Maître, mon Bien-Aimé, ne veux-Tu point m'étreindre et me considérer identique à Toi-même ?"
Incapable de percevoir autre chose, mon coeur souffre comme sous le poids d'une grande affliction,
et contemplant sans cesse cette image, je m'écrie :
"Ô mon Maître, mon Bien-Aimé, ne veux-Tu point m'étreindre et me considérer identique à Toi-même ?"
Incapable de percevoir autre chose, mon coeur souffre comme sous le poids d'une grande affliction,
les larmes jaillissent de mes yeux,
et je reste figé, comme ceux
et je reste figé, comme ceux
qui sont plongés dans l'extase.