Ô Douce Mère
Toi qui as pourfendu la vérité
A travers les Ages,
Toi, qui d’un seul regard
Donne le feu divin,
Toi qui as sacrifié ton corps
Pour nous donner accès
A la Joie d’union au Divin
En notre corps matériel,
Toi qui as trempé ton Être
Telle une lame d’acier
Dans le feu des origines
Pour lui donner l’éclat
Indestructible du Diamant.
Sylvère