La prédiction tirée du concret ne vaut que pour celui qui ignore la présence.
Martin BUBER, Je et Tu Basée sur l'action de prédire l'avenir, sur l'interprétation faite par un personnage important, souvent une figure faisant autorité spirituelle, la prophétie désigne la prédiction d'un évènement futur faite par pressentiment ou conjoncture. Concernant "2012", la prophétie est basée sur l'interprétation de textes établies par les tenant de la connaissance d'une des civilisation précolombiennes que furent celle des Mayas. C'est à partir de ces textes séculaires de nature prophétique, basée sur des calcules astronomiques, que les hommes vivant dans l'ère moderne ont trouvé une interprétation en corrélation avec la conjoncture de leur époque contemporaine. De là est né la prophétie sur 2012. Au cours des siècles, l'histoire a été jalonné de prophéties eschatologiques , du même genre que celles concernant "2012".
Avant d'élargir notre connaissance de ces prophéties Mayas et d'en décrypter leur véritable sens voici deux sujets à lire en préambule:
Lorsque les adeptes du New -
Age ont établi leur croyance en une prophétie sur la confusion entre fin d'un
calendrier et fin d'un monde voici ce dont ils auraient dû avoir connaissance:
"Selon les corrélations Wietzel, Vollemaere et
Vaillant, on peut dire maintenant avec certitude : il n’y a pas d’apocalypse
maya en 2012 ! “La fin du calendrier maya est survenue le 12 décembre
1546, un solstice d’hiver !". " Antoon L. VOLLEMAERE
Quelque extraits pertinents à consulter sur le site http://www.soleil-levant.org:
"Le calendrier maya commence en 3113 av. J.C. et se
termine en 2012. Et alors ?!
Strictement rien dans ce que nous
connaissons des Mayas ne permet de penser que quoi que ce soit de particulier
pourrait se passer à la fin de ce cycle. Aucune source maya n’annonce un
quelconque bouleversement au sein de l’humanité ou d’une partie de celle-ci."
Article : "2012, sommet du
matérialisme spirituel"
"Trop de choses sont dites au sujet de « 2012 », il est
temps de se recentrer sur le véritable message de sagesse de nos
Anciens. Le temps s’accélère et nous n’avons plus le droit de nous
égarer. Redonnons la parole aux gardiens de la tradition Maya.
C’est en 1987, que Jose Arguelles a annoncé pour la première fois la
date de la fin du calendrier Maya : le 21 décembre 2012. Véritable
pionnier de la nouvelle conscience, il a créé à cette époque « la
convergence harmonique » en rassemblant des milliers de personnes à
travers le monde par la prière et la méditation.
Depuis, cette date a été reprise par de nombreux auteurs et conférenciers, jusqu’aux médias comme le film « 2012 »dont l’objectif a été de mettre en avant des effets spéciaux avec une fin sidérante où ce sont les plus riches qui s’en sortent ! Progressivement la signification de la fin du calendrier Maya a été dénaturée en se focalisant sur une seule date et sa valeur spirituelle a perdu tout son sens."
Depuis, cette date a été reprise par de nombreux auteurs et conférenciers, jusqu’aux médias comme le film « 2012 »dont l’objectif a été de mettre en avant des effets spéciaux avec une fin sidérante où ce sont les plus riches qui s’en sortent ! Progressivement la signification de la fin du calendrier Maya a été dénaturée en se focalisant sur une seule date et sa valeur spirituelle a perdu tout son sens."
Article: "Démystifions « 2012 » et redonnons la parole aux anciens
MAYAS !"
Articles suivants à propos des calendriers Mayas sur http://www.agendaplus.be:
"Les cycles temporels selon les mayas"
(...) les anciens mayas développèrent
un système de 17 calendriers très complexes qui s’engrènent comme les rouages
d’une montre aux proportions cosmiques.
Parmi les plus connus, le Tzolk’in ou compte des jours est basé sur un cycle de 260 jours, cycle qui nous convient naturellement puisque c’est celui de la gestation humaine. Il induit une évolution, une maturité et une naissance vers un nouveau cycle de vie.
Il y avait aussi le Tun, basé sur 360 jours qui, à l’image d’une roue à 360°, était applicable à toute les sphères et orbites de la Galaxie. Citons aussi le Haab basé, comme le calendrier grégorien, sur 365 jours et ¼ de jour, soit la durée que met la terre pour une révolution complète autour du Soleil. Ce calendrier était considéré comme «asynchronique» et était uniquement utilisé pour les récoltes et le commerce. Intéressant... Notre calendrier grégorien, imposé par le Pape Grégoire en 1582, serait donc non-synchronisé aux rythmes naturels et propice aux échanges commerciaux... Il serait même générateur, d’après certains auteurs, de dysharmonie et responsable, entre autres, des guerres, du matérialisme et de la pollution de la planète.
La plupart des gens pensent que le choix d’un calendrier est arbitraire, qu’il ne s’agit que d’une convention, que cela n’a aucune influence sur la vision du monde d’une civilisation, sur la conscience des individus. Et pourtant... C’est peut-être justement parce que le choix d’un système calendérique semble si anodin que cet aspect est précisément devenu comme «un angle mort» dans le champs de vision de notre conscience. Se pourrait-il, dès lors, que l’imposition d’un calendrier «non-naturel» ait contribué à précipiter notre humanité vers un âge encore plus sombre ? Peut-être...
Mais en quoi les calendriers mayas diffèrent- ils ? Au lieu d’être linéaires, comme le calendrier grégorien, ils forment des cercles concentriques spiralés qui induisent une constante évolution. Le terme «calendrier» semble d’ailleurs bien pauvre en regard de l’explication donnée par les mayas eux-mêmes : «systèmes de comptage des énergies temporelles et créatrices permettant à la conscience humaine de se synchroniser aux flux de la Création». tout est dit...
Parmi les plus connus, le Tzolk’in ou compte des jours est basé sur un cycle de 260 jours, cycle qui nous convient naturellement puisque c’est celui de la gestation humaine. Il induit une évolution, une maturité et une naissance vers un nouveau cycle de vie.
Il y avait aussi le Tun, basé sur 360 jours qui, à l’image d’une roue à 360°, était applicable à toute les sphères et orbites de la Galaxie. Citons aussi le Haab basé, comme le calendrier grégorien, sur 365 jours et ¼ de jour, soit la durée que met la terre pour une révolution complète autour du Soleil. Ce calendrier était considéré comme «asynchronique» et était uniquement utilisé pour les récoltes et le commerce. Intéressant... Notre calendrier grégorien, imposé par le Pape Grégoire en 1582, serait donc non-synchronisé aux rythmes naturels et propice aux échanges commerciaux... Il serait même générateur, d’après certains auteurs, de dysharmonie et responsable, entre autres, des guerres, du matérialisme et de la pollution de la planète.
La plupart des gens pensent que le choix d’un calendrier est arbitraire, qu’il ne s’agit que d’une convention, que cela n’a aucune influence sur la vision du monde d’une civilisation, sur la conscience des individus. Et pourtant... C’est peut-être justement parce que le choix d’un système calendérique semble si anodin que cet aspect est précisément devenu comme «un angle mort» dans le champs de vision de notre conscience. Se pourrait-il, dès lors, que l’imposition d’un calendrier «non-naturel» ait contribué à précipiter notre humanité vers un âge encore plus sombre ? Peut-être...
Mais en quoi les calendriers mayas diffèrent- ils ? Au lieu d’être linéaires, comme le calendrier grégorien, ils forment des cercles concentriques spiralés qui induisent une constante évolution. Le terme «calendrier» semble d’ailleurs bien pauvre en regard de l’explication donnée par les mayas eux-mêmes : «systèmes de comptage des énergies temporelles et créatrices permettant à la conscience humaine de se synchroniser aux flux de la Création». tout est dit...
"Un autre
point de vue sur 2012"
Rencontre avec le Dr. Antoon L. Vollemaere
"L’idée de commencer l’année le 4 janvier vous
traverserait-elle l’esprit ? Et si on nous obligeait à fêter le réveillon le 3
au nom d’une interprétation sans fondement astronomique ?
Une minorité s’insurgerait sans doute pour faire
éclater la vérité ! C’est ce que fit l’éminent docteur en études
latino-américaines Antoon Leon Vollemaere à propos du calendrier maya.
Profondément épris de justice, c’est avec une passion contagieuse et un travail
scientifique rigoureux, que le spécialiste en paléographie maya a passé 45 ans
de sa vie à remettre les pendules à l’heure !
Voyage dans la machine à explorer le temps…"
"On dit que le calendrier maya commence le 4 Ahau 8
Cumhu. C’est faux, c’est une seconde base de calcul qui donne une erreur de 520
ans ! Le calendrier a commencé par le jour 1 Imix 0 Pop, le 14 janvier 3580
avant Jésus-Christ. Douze ans de calculs l’attestent et se trouvent dans mon
dernier livre. Diego de Landa, Evêque du yucatan décédé en 1566, a aussi écrit
que «le calendrier commençait par le jour 1 Imix». De même que les mayas n’ont
jamais prédit d’apocalypse ! Ces histoires ont été inventées par des
scientifiques américains et danois pour provoquer la peur et ainsi faire du
business, vendre des livres et des films.. Je les ai rencontrés, leur ai prouvé
leur erreur : ils m’ont dit que j’avais raison mais qu’il était trop tard, les
publications étaient déjà en route ! Et il n’y a pas plus de force cosmique qui
descendra sur terre en 2012, il ne se passera rien du tout. Aucun codex,
c’est-à-dire de manuscrit pictographique des mayas, ne prédit ce genre de chose
!
L’histoire maya a été falsifiée, d’abord vraiment
involontairement et puis sciemment ! Cela frise le crime scientifique. La
corrélation retenue de Joseph Goodman, Juan Martinez hernandez et John Eric
Sydney thompson est devenue par la suite le plus grand mensonge des mayanistes.
C’est profondément honteux pour la Science, en plus de constituer une injustice
déplorable envers les peuples mayas."
Pour aller plus loin :
Apocalypse maya 2012
Ouvrage, publié le 19/11/2009
Auteur : Antoon L. VOLLEMAERE
Synopsis :
Cet ouvrage d’une extrême rigueur
s’adresse aux lecteurs et lectrices soucieux de connaître la vérité,
l’exactitude des calculs, au-delà de l’amoncellement d’hypothèses alarmistes
qui foisonnent à l’aube de 2012 ! Selon les corrélations Wietzel, Vollemaere et
Vaillant, on peut dire maintenant avec certitude : il n’y a pas d’apocalypse
maya en 2012 ! “La fin du calendrier maya est survenue le 12 décembre
1546, un solstice d’hiver !”.
Calendrier Temple Maya, illustration "La vie privée des hommes:
au temps des Mayas, des Aztèques et des Incas..."
Ce que Don Marcelino dit à propos des prophéties in « LA MÉMOIRE COSMIQUE AMÉRINDIENNE » :
EXTRAITS
"Les Prophéties"
"Avant
de disparaître, les Hommes de Connaissance Maya, ont laissé un manteau
de protection autour de leurs livres, de leurs calendriers et de leurs
prophéties. Afin de pouvoir déchiffrer ces messages, il faut commencer
par traverser des symboles et des chiffres qui, en fait, ne veulent rien
dire. Ce ne sont que des fioritures destinées à camoufler la simplicité
des textes sacrés aux intrus avides de découvertes et de fausse magie.
La civilisation maya a laissé :
— Les Chilam Balams ou Livres des devins des choses occultes. Ce sont des prophéties.
— Le Popol Vuh : Livre du Conseil, recueil de mythes et légendes quichua.
Les
Mayas adoptèrent la numérotation vicésimale (unités croissant de vingt
en vingt) ce qui leur permit des calculs astronomiques très poussés et
d'établir un calendrier solaire très précis. Chaque jour avait un nom et
un caractère bénéfique ou maléfique.
La prophétie de 2012, traduite dans notre langue dit ceci :
Les
portes de la planète Terre s'ouvriront afin de recevoir des énergies
cosmiques d'un nouveau type. Ce champ d'énergie traversera la Terre
en enveloppant très doucement tout ce qui vit. Cette ouverture dans
l'œuf terrestre durera plusieurs millénaires : de 20 à 50 000 ans
environ.
Chacun
de nous, au cours de sa vie, a ressenti l'expérience de se sentir
envahi dans tout son être par une onde de joie, joie impossible à
traduire par des mots. Notre être se sent uni à la Terre et au Cosmos
dans un état d'Harmonie, de Paix et d'Amour. C'est de cela qu'il s'agit.
La deuxième Prophétie est celle de l'Arc-en-Ciel
Elle
annonce la transformation du genre humain en un Arc-en-ciel, mélange de
toutes les couleurs et de toutes les races, synthèse cosmique de toute la Connaissance :
L'enracinement et la joie de vivre de l'Afrique,
La sagesse de l'Orient,
L'amour de la Terre et l'identification avec la nature des Amérindiens
Savez-vous que les arbres parlent ?
Ils le font, pourtant !
Ils se parlent entre eux
Et ils vous parleront si vous les écoutez.
Ils le font, pourtant !
Ils se parlent entre eux
Et ils vous parleront si vous les écoutez.
Nous
sommes semblables aux plantes : ni elles, ni nous, ne sont plus
importants. Les plantes, croit-on, sont vivantes. La sève est leur sang.
Elles s'accroissent, se multiplient. Elles peuvent communiquer avec
nous et nous ne pouvons les détruire. Les arbres, quant à eux, sont
aussi des êtres vivants.
Mais,
pour compléter l'Arc-en-ciel, il manque une tradition. Toutes les
anciennes traditions attendent le réveil de l'Occident, de la tradition
européenne avec son savoir druidique, ses sorcières, le savoir et les
techniques de ses alchimistes et la sagesse de son guide Jésus. Ce
réveil est indispensable pour compléter le puzzle de la mémoire
cosmique. Je pense que les civilisations amérindiennes savent depuis
des millénaires que tout réveil de l'humanité est très lent.
L'Homme n'existe pas encore. L'être incarné est une espèce en mutation qui se réalisera en retrouvant sa mémoire cosmique.
[…]
Face à ces réalités apocalyptiques, les adeptes du nouvel âge, alors que la Terre
brûle sous leurs pieds, sont à côté de leurs pompes. Je crois qu'ils
sont sincères dans leur recherche. Malheureusement, une grande majorité
d'entre eux n'est pas enracinée. Ils prennent leurs désirs pour des
réalités quand ils disent, par exemple:
Le 21ème siècle sera religieux ou ne sera pas.
Ce millénaire de l'ère du Verseau sera d'Amour et de Lumière.
En 2012 la Terre va totalement changer (interprétation erronée du calendrier Maya).
Les
sociétés amérindiennes gardent une distance devant le nouvel âge. Je
crois que la Terre brûle sous les pieds de tous les habitants de cette
planète et qu'il est temps de s'informer pour agir.
Les
travaux des scientifiques occidentaux nous plongent dans la réalité.
Par exemple, prenons le rapport intergouvernemental sur l'évolution du
climat, un texte de mille pages d'analyses techniques, publié par deux
mille spécialistes. Ses rédacteurs envisagent une hypothèse moyenne sur
les dangers encourus par la Terre, hypothèse bien en dessous de la réalité.
Selon tous ces scientifiques, le climat va radicalement changer.
Je
crois que le moment que nous vivons est très grave. Il est urgent
d'assurer nos responsabilités d'habitants de cette Planète bleue."